Si le montant de 50 milliards de centimes s’avère exact, ou même s’il atteint seulement la moitié de cette somme, ce serait comparable à la découverte d’un véritable trésor d’Ali Baba.
Une manne financière qui pourrait transformer le paysage sportif du club en profondeur, comme nous l’avions mentionné auparavant en discutant de ce « Mondial métamorphosé » dans ses formes, ses récompenses et son timing.
Pour mettre les choses en perspective, 50 milliards représentent cinq fois le budget annuel moyen d’un grand club marocain. Cela signifie que le Wydad, par exemple, pourrait fonctionner pendant cinq saisons consécutives sans aucun souci financier.
C’est également l’équivalent de remporter le titre de championnat 50 fois de suite. En d’autres termes, cela offrirait une avance quasi « lumineuse » sur les autres équipes de la Botola.
Cependant, cette opportunité colossale ne pourra être exploitée efficacement que sous certaines conditions strictes : une gestion prudente des dépenses, une utilisation rationnelle des fonds, et une résolution rapide des litiges financiers en suspens.
En outre, il serait impératif d’investir judicieusement dans le recrutement de joueurs de calibre international, de se concentrer sur la formation des jeunes talents, et de moderniser les infrastructures, notamment les académies sportives.
Cette somme astronomique, avec tous les zéros qu’elle comporte, offre un potentiel immense, mais elle soulève également d’importantes questions de gouvernance et de durabilité.
Il ne s’agit pas seulement d’argent, mais de l’art de transformer cette richesse en résultats concrets, à la fois sur le terrain et dans l’administration du club.
Bref, avec 50 milliards, il y a énormément de « zéros », mais surtout énormément de choses à accomplir. C’est une opportunité en or, mais aussi une responsabilité colossale.