Depuis leur apparition sur le marché marocain, des plateformes telles que Careem, Yango et InDrive sont en train de redéfinir les modes de transport urbains.
Cependant, leur essor se heurte à des obstacles. Samedi dernier, une Assemblée Générale constitutive de la section régionale (Rabat-Salé-Kénitra) du Syndicat Démocratique du Transport n’a pas pu aboutir.
Les applications proposant la médiation entre les clients et les conducteurs de voitures de transport avec chauffeurs (VTC), comme Careem, Yango ou InDrive, ont révolutionné le transport urbain. Pratiques et modernes, ces plateformes n’ont pas tardé à attirer une clientèle croissante, particulièrement parmi les jeunes et les professionnels. Face à cette expansion, une opposition notable s’est formée, principalement de la part des chauffeurs de taxi.
Les autorités locales considèrent, malgré les avantages évidents du service VTC, que ces plateformes demeurent des activités illégales. En 2018, une tentative de conciliation a été menée, mais les tensions persistent.